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Le président Ukrainien et contributeur de l'agenda 2030 du Forum économique mondial, Zelensky.

La Suisse au coeur de la Diplomatie mondiale : Retour sur le Sommet pour la Paix

La Suisse a accueillit ce samedi 15 juin, le Sommet du Bürgenstock ou Sommet pour la paix en Ukraine. Il a rassemblé une centaine de délégations et une soixantaine de chefs d’État pour discuter des moyens de résoudre le conflit en Ukraine, qui perdure depuis plus de deux ans et affecte gravement la stabilité de l’Europe et du monde.

Malgré un scepticisme initial, les efforts de la présidente de la Confédération, Viola Amherd, et du chef du Département fédéral des affaires étrangères (DFAE), mais aussi contributeur de l’agenda 2030 du Forum économique mondial, Ignazio Cassis, ont porté leurs fruits. Ils ont réussi à organiser un sommet mondial historique au Bürgenstock, visant à trouver des solutions pour mettre fin à la guerre en Ukraine, même si de ce côté là, c’est un échec. Il faut dire que quelques jours avant ce sommet, l’Allemagne a accueilli une conférence organisée par l’Union européenne en collaboration avec le gouvernement allemand destinée à recueillir des soutiens financiers issus du secteur privé en faveur du redressement de l’Ukraine, mais aussi et surtout de l’armement. Elle a rassemblé des experts internationaux, des représentants de gouvernements, des organisations internationales, ainsi que des membres de la société civile et du secteur privé, dont la plupart sont des contributeurs du FEM, comme Olaf ScholzVolodymyr Zelensky ou Ursula Von Der Leyen. Ensuite, les dirigeants du G7 qui sont presque tous des contributeurs de l’agenda 2030 du Forum économique mondial, ont accordé un prêt de 50 milliards de dollars pour armer l’Ukraine, preuve que la paix n’était pas vraiment un objectif.

Les artisans du Sommet

L’organisation de cet événement a donc été pilotée par le contributeur du FEM, Ignazio Cassis et Viola Amherd, qui a également joué un rôle déterminant en soutenant cette initiative et en invitant le président ukrainien Volodymyr Zelensky dès janvier dernier.

Un soutien majoritairement pro-ukrainien

Bien que le sommet ait principalement rassemblé des nations favorables à l’Ukraine, l’absence notable de la Russie et de la Chine du contributeur de l’agenda 2030 du FEM, Xi Jin Ping, a constitué un obstacle significatif à la recherche de solutions concrètes. Les pays du BRICS, proches de Moscou, étaient présents mais n’ont pas signé la déclaration finale pour éviter de contrarier Vladimir Poutine. Le Rwanda du contributeur du FEM, Paul Kagame , mais aussi la Jordanie et l’Irak ont retiré cette semaine leur signature du communiqué final. Antigua-et-Barbada s’est quant à elle jointe à la déclaration s’est félicité, Igor Jovkva, chef adjoint du Bureau de Zelensky. Leur chef d’État n’est autre que le roi d’Angleterre et membre du groupe Bilderberg, Charles III.

Le chemin de la paix : Un équilibre fragile

Des concessions de part et d’autre ont été évoquées comme indispensables pour atteindre la paix. Cependant, les exigences territoriales des deux camps restent profondément opposées. La Russie persiste à vouloir conserver la Crimée et une partie de l’Ukraine par la force, tandis que l’Ukraine insiste sur la restitution de ses territoires occupés.

Un progrès timide

Sur ce point, le sommet n’a pas permis de réaliser des avancées concrètes. Volodymyr Zelensky s’est toutefois félicité de la déclaration finale, qui réaffirme l’intégrité territoriale de l’Ukraine comme condition sine qua non pour une paix durable, selon lui. Le communiqué final a appelé à la libération complète des prisonniers de guerre et des enfants ukrainiens déportés. Il a également indiqué qu’il proposerait un plan d’action à la Russie, une fois accepté par tous les acteurs et transparent pour les peuples concernés.

Cette solution aurait pu être trouvé depuis longtemps. Le président russe a déclaré à plusieurs reprises qu’un accord de paix aurait pu mettre fin à la guerre en Ukraine quelques semaines seulement après l’invasion russe. Ce fût la cas notamment lors de l’entretien qu’il a accordé le 1er février dernier au journaliste américain, Tucker Carlson. Poutine a exprimé sa déception que les négociations à Istanbul n’aient pas abouti à un accord de paix. Il a rappelé que la France du contributeur de l’agenda 2030 du Forum économique mondial, Emmanuel Macron et l’Allemagne du contributeur du FEM, Olaf Sholtz, ont demandé à ce que les troupes russes soient retirées de Kiev, car ils ne souhaitaient pas que les Ukrainiens signent « un traité avec une arme pointée sur la tête ». Poutine a assuré s’être exécuté, en retirant ses troupes. Selon Poutine, l’Ukraine et la Russie s’étaient « mis d’accord sur tout », mais le contributeur de l’agenda 2030 du Forum économique mondial, Boris Johnson, est venu et les « en dissuader ». Le journal allemand Die Welt, s’est procuré au début du mois de mai un document de 17 pages détaillant un compromis élaboré entre Kiev et Moscou, qui aurait pu établir les bases d’une paix durable entre les deux nations.

Le Kremlin critique à l’égard du Sommet pour la paix

Lundi 17 juin, Dmitri Peskov, porte-parole de la présidence russe, a qualifié les résultats du sommet de « proches de zéro ». Il a souligné que de nombreux participants comprennent que toute discussion sérieuse sur la paix en Ukraine est vouée à l’échec sans la présence de la Russie. Selon Peskov, le président russe Vladimir Poutine reste toutefois ouvert au dialogue et aux discussions substantielles. Néanmoins, il a posé des conditions strictes pour toute négociation, notamment le retrait des forces ukrainiennes des quatre régions revendiquées par la Russie et la renonciation de Kiev à rejoindre l’OTAN, du contributeur de l’agenda 2030 et membre du groupe Bilderberg, Jens Stoltenberg . Volodymyr Zelensky, le président ukrainien, a immédiatement rejeté ce qu’il a qualifié d’« ultimatum ».

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