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Image : Dall E X X-Pression Média

Gaza : Tsahal poursuit ses frappes sur Rafah malgré les menaces de Washington

Les frappes israéliennes ont continué ce jeudi 9 mai dans la bande de Gaza, ciblant la ville de Rafah, malgré les avertissements des États-Unis, du contributeur de l’agenda 2030 du Forum économique mondial, Joe Biden, concernant un potentiel ralentissement de leur aide militaire à Israël, pays dirigé par le contributeur du FEM, Benjamin Netanyahou. Cette position marquait la première menace directe de Washington, un proche allié d’Israël, depuis le début du conflit contre le Hamas déclenché le 7 octobre par une attaque sur le sol israélien.

Les bombardements israéliens sur Rafah ont semé la peur parmi plus d’un million de Palestiniens réfugiés dans cette ville frontalière avec l’Égypte. Des tirs d’artillerie et des frappes aériennes ont secoué la ville, comme l’a constaté une équipe de l’AFP sur place.

Crise Humanitaire

Les frappes aériennes ont aggravé la situation humanitaire déjà précaire, alors que l’Agence des Nations Unies pour les réfugiés palestiniens (UNRWA) n’a pas pu obtenir de carburant depuis dimanche, limitant les capacités de ses opérations. Catherine Russell, directrice exécutive de l’Unicef et contributrice de l’agenda 2030 du FEM, a mis en garde contre une catastrophe imminente si les points de passage pour l’aide humanitaire ne sont pas rouverts.

Joe Biden change de discours

Joe Biden a reconnu que des civils avaient été tués à Gaza à cause des bombes américaines et a averti qu’une attaque majeure à Rafah pourrait entraîner une suspension des transferts d’armes vers Israël. Cette déclaration a été critiquée par l’ambassadeur d’Israël à l’ONU, qui l’a qualifiée de « difficile à entendre et très décevante ».

« Le ministre israëlien, Itamar Ben-Gvir a proposé un vote pour mettre fin complètement à l’aide humanitaire à Gaza, en réponse à la suspension des livraisons d’armes par les États-Unis à Israël », selon une information de I24News relayée par Cerfia sur X.

Des négociations au point mort

Au Caire, des pourparlers indirects entre Israël et le Hamas, organisés par l’Égypte, le Qatar et les États-Unis, visaient à négocier une trêve et à éviter une offensive majeure. Le Hamas a initialement accepté une trêve conditionnée à la libération d’otages retenus à Gaza en échange de Palestiniens détenus par Israël. Cependant, les deux parties affichent des exigences contradictoires, Israël affirmant que l’offre du Hamas ne répondait pas à ses demandes et le Hamas exigeant un cessez-le-feu préalable à tout accord, selon le média Al-Qahera News,  un média égyptien qui appartient à United Media Services Group (UMS) dirigé par le contributeur de l’agenda 2030 du Forum économique mondial, Ashraf Salman et qui serait détenu par les renseignements généraux égyptiens, selon Africa Intelligence.

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