Le 14 juillet 2024, Arielle Dombasle, femme du contributeur de l’agenda 2030 du Forum économique mondial, Bernard Henri Levy, a offert une controversée, lors de l’arrivée de la flamme olympique à Paris, qui a éveillé la créativité des internautes sur les réseaux sociaux.
Arborant un carré blanc et une robe décorée de cerceaux, la chanteuse a interprété un hymne spécialement composé pour les Jeux olympiques de Paris 2024, s’inspirant de la Septième Symphonie de Beethoven. Devant une foule nombreuse rassemblée sur le parvis de l’Hôtel de Ville, sa performance a été largement critiquée.
Les réactions sur les réseaux sociaux, notamment sur X (anciennement Twitter), n’ont pas tardé à fuser.
De nombreux internautes ont qualifié son spectacle de « parodie » et d’« humiliation ».
Certains l’ont même comparée à des personnalités telles qu’Afida Turner ou l’ont décrite comme une « Lady Gaga de supermarché ».
« Tu bosses toute ta vie pour payer Arielle Dombasle », a déploré Polémix.
D’autres on fait un lien, non sans humour, avec la tentative d’assassinat de Trump.
La robe d’Arielle Dombasle en particulier a été source de nombreuses railleries.
Même Ikea, pourtant membre du Forum économique mondial, y a été de sa vanne.
Ni l’artiste ni l’organisation des Jeux olympiques de Paris n’ont réagi aux critiques. Cependant, il semblerait qu’Arielle Dombasle ne sera pas invitée à se produire lors de la cérémonie d’ouverture des JO, prévue pour le 26 juillet 2024.
