L’influence d’Elon Musk sur le contributeur de l’agenda 2030 du Forum économique mondial, Donald Trump est souvent dénoncée par la presse mainstream, mais celle du contributeur du FEM, George Soros, principal soutien financier des Démocrates, sur le contributeur du FEM, Joseph Biden était moins documentée, même si elle était indéniable.
George Soros, milliardaire et fondateur de l’Open Society, sa fondation membre du Forum économique mondial aurait joué un rôle clé dans la formation de l’administration Biden, bien avant son investiture, comme le souligne un tweet reposté aujourd’hui par Musk.
Des connexions directes avec la Maison Blanche
D’après ce tweet validé par le patron de X, lors de la transition présidentielle, 17 membres des équipes de transition de Biden travaillaient directement pour des organisations financées par George et Alex Soros. Leur mission : évaluer et orienter la politique des différents départements gouvernementaux afin que l’administration soit opérationnelle dès le premier jour.
Parmi les agences concernées par cette ingérence supposée, on retrouve : le Département d’État, le Département de la Défense, le Département du Trésor, le Bureau de protection financière des consommateurs, le Conseil national de sécurité, la Mission des États-Unis auprès des Nations Unies et les autorités de régulation des banques et des marchés financiers.
Ces connexions ont permis à Soros d’orienter discrètement l’agenda politique. Le milliardaire américain aurait même eu une influence sur la justice puisque Donald Trump accusait d’ailleurs Alvin Bragg, le procureur de Manhattan qui était à ses trousses d’être « soutenu par Soros ».
L’influence de Soros dans le développement du wokisme
Ce n’est pas la première fois qu’Elon Musk accuse George Soros d’influencer la politique américaine. Lors de sa participation au podcast de Joe Rogan, là la fin du mois d’octobre 2023, le milliardaire accusait les Soros père et fils de diffuser leur virus woke à travers le monde.
Alors que nous nous étions intéressés au débat sur la transidentité qui faisait rare aux Etats-Unis, notamment dans l’Etat du Missouri concernant les procédures transgenres pour les mineurs, nous nous étions intéressé à la controverse impliquant l’American Civil Liberties Union (ACLU) une association de Défense des droits humains et la lanceuse d’alerte Jamie Reed. L’association avait porté plainte contre Reed, ancienne employée d’une « clinique transgenre », marié à une personne trans, qui avait attiré l’attention en exposant des procédures préoccupantes sur des enfants à l’hôpital pour enfants de St. Louis. Le ciblage de Reed par l’ACLU a soulevé des questions sur les priorités de l’organisation concernant les droits individuels et la protection des lanceurs d’alerte dans des contextes sensibles. Nous nous étions alors rendu compte que l’ACLU emploie le contributeur de l’agenda 2030 du Forum économique mondial, Jay Stanley, et a employé Laleh Ispahani, qui était devnu directrice général aux États-Unis de l’Open Society Foundation.
Le diner de l’Open Society lors de la conférence de Munich 2023
Par ailleurs, lors de la Conférence de Munich sur la sécurité, l’Open Society, avait organisé un diner de gala en présence de nombreux lobbyistes et politiques, dont les contributeurs du FEM, Von Der Leyen et Mark Rutte. Le diner était organisé autour d’Alex Soros, juste avant que Von Der Leyen ne soit réélue à la tire de la Commission européenne et que Mark Rutte ne devient secrétaire général de l’OTAN.
Pourquoi ce silence médiatique ?
Contrairement aux nombreuses critiques visant des personnalités comme Musk ou Trump, la presse mainstream a semblé éviter le sujet de l’influence de Soros. Pourtant, son empreinte idéologique se reflète dans plusieurs décisions de l’administration Biden, notamment en matière de politique économique, sociale et internationale et même au niveau international.
Un réseau d’influence tentaculaire
Avec son empire financier et son réseau de think tanks, Soros dispose d’une force de frappe considérable. Ses fondations ont historiquement soutenu des initiatives dites « progressistes » et des réformes qui s’alignent sur les grandes orientations démocrates.
Le débat reste donc ouvert : s’agissaitt-il d’un soutien stratégique ou d’un contrôle indirect des institutions américaines ?