Le Pape François a récemment provoqué une vive controverse en affirmant qu’il y avait trop de « pédés » dans les séminaires religieux. Dans le même temps, le Vatican est accusé de graves dérives par certains membres de l’Eglise Catholique, qui dénoncent même l’omniprésence de la Franc-Maçonnerie, au sein du Saint-Siège, ce qui pourrait expliquer son étrange politique diplomatique. Pendant Davos 2024, le Pape François, qui est un contributeur de l’agenda 2030 du Forum économique mondial a appelé à un renforcement de la gouvernance mondiale.
Lors de l’assemblée de la Conférence épiscopale italienne (CEI), il aurait exhorté les évêques à ne pas accueillir dans les séminaires religieux les personnes ouvertement homosexuelles, déclarant qu’il y avait déjà trop de « frociaggine », déclinaison dans le dialecte romain du mot « frocio », qui signifie « pédés » en italien.
Plusieurs médias italiens, dont le Corriere della Sera et La Repubblica, ont rapporté cet incident, soulignant que le Pape François n’était probablement pas conscient du caractère extrêmement insultant de ses propos, l’italien n’étant pas sa langue maternelle. Les évêques interrogés, percevant cette déclaration comme une « gaffe » évidente.
Le journal La Répubblica, dont le Directeur de publication est le contributeur de l’agenda 2030 du Forum économique mondial, Maurizio Molinari, rappelle que le pape François a toujours milité pour une Église accueillante pour tout le monde, sans distinction d’orientation sexuelle, mais qu’il a insisté lors de cette réunion sur l’interdiction des séminaires aux personnes ouvertement homosexuelles.
Lors d’un synode portant sur l’avenir de l’Église, qui s’est déroulé mercredi, le pape François, a exprimé sa désapprobation face aux comportements sexistes et dictatoriaux de certains prêtres.
Au mois de décembre dernier, une crèche mettant en scène un couple de femmes autour de Jésus dans l’église des Saints Pierre et Paul, à Capocastello di Mercogliano, en Italie, a suscitée la polémique.
Depuis le début du Pontifcat du Pape François, de nombreux scandales sexuels ont même éclaté. Le cardinal Francesco Coccopalmerio, ancien archevêque de Milan et ancien chef du Conseil pour les textes législatifs, un organe du Vatican qui serait impliqué dans la publication de tous les textes officiels, en particulier ceux relatifs à la loi de l’Église, a notamment participé a une orgie homosexuelle avec consommation de cocaïne au Vatican en 2017, comme l’expliquait Lifesitenews. Des sources vaticanes ont rapporté que Coccopalmerio « présidait » l’événement et que lorsque la police vaticane a interrompu la fête, « elle lui a demandé de s’absenter avant qu’elle ne commence à procéder à des arrestations ».
Récemment l’assistant exorciste canadien, Kyle Clement, dénonçait dans les colonnes de LifeSiteNews, le fait que le cardinal, Francesco Coccopalmerio, affiche ses liens avec les francs-maçons, en ayant participé le 16 février dernier à une conférence organisée à Milan, par le Grand Orient d’Italie, la principale loge maçonnique du pays. Organisée par le Groupe de recherche et d’information socio-religieuse (GRIS), la conférence « Église catholique et maçonnerie » était présidée par le Grand Maître du Grand Orient, Stefano Bisi, ainsi que par d’éminents membres de la hiérarchie catholique. Selon Clément, « le faux œcuménisme issu de Vatican II » est issu de « la franc-maçonnerie » et les tentatives modernes qui tenteraient de rapprocher l’Eglise et la Maçonnerie sont des attaques contre l’intégrité du dépôt de la foi.
Le rôle obscure du Vatican dans la diplomatie mondiale d’après guerre
Le Vatican a joué un rôle obscure à la fin de la seconde guerre mondial. De nombreux nazis n’ont pas été jugés ayant réussi à s’échapper grâce aux réseaux d’exfiltration nazis, souvent proche du Saint-Siège. Alois Hudal, évêque catholique autrichien, aurait par exemple utilisé des faux documents, dont des papiers d’identité délivrés par des organisations du Vatican, pour faciliter leur fuite.
Le Pape Jean Paul II a quant à lui entretenu des relations avec le diplomate américain d’origine polonaise, Zbigniew Brzeziński, avec lequel il s’entretenait en polonais. Brzeziński a cofondé en 1973 avec David Rockefeller et Henri Kissinger, tous trois membres du groupe Bilderberg et du Council on Foreign Relations, l’un des plus anciens think tank américain, la Commission Trilatérale, un groupe informelle visant a libéralisé les trois principaux marchés mondiaux, c’est à dire les Etats-unis, l’Europe et l’Asie, et de tenter d’imposer des directives aux dirigeants des pays. Jean-Paul II a également entretenu des relations avec le contributeur de l’agenda 2030 du Forum économique mondial, Henry Kissinger, qui a largement contribué à l’opération Condor, ayant mené à la mise en place de régime totalitaires en Amérique du Sud et à la répression de leurs opposants.
L’historien américain J. Patrice McSherry, a même établi un lien entre l’Opération Condor en Amérique du Sud et les réseaux « Stay-behind », des cellules clandestines installés en Europe par l’OTAN après guerre. En France, c’est d’ailleurs le président du conseil, soit l’équivalent du Premier ministre, Antoine Pinay, qui les a dirigés. Celui-ci était proche de Jacques Bardoux, oncle de Valéry Giscard d’Estaing, ancien président de la République et membre du groupe Bilderberg. En Italie, le Gladio, le réseau italien des « Stay-behind », aurait joué un rôle clé durant la « stratégie de la tension », période marquée par de graves violences politiques visant à empêcher l’ascension au pouvoir des partis de gauche, avec le concours de la loge maçonnique Propaganda Due dirigée par Licio Gelli, selon un rapport de 2000 des Démocrates de gauche italiens.
Le journaliste Paul L. Williams soutient que l’opération Gladio a contribué à l’ascension du contributeur du Pape François, qui aurait selon lui des liens forts avec l’opération Condor. En 2005, le journaliste argentin Horacio Verbitsky, ancien membre des « Montoneros », une organisation politico-militaire péroniste active dans la lutte armée entre 1970 et 1979, devenu directeur du quotidien pro-gouvernemental Pagina, a relancé la polémique en publiant « El Silencio ». Dans ce livre, il affirme notamment que le père Bergoglio a collaboré avec la junte militaire et n’a pas tenté de libérer deux jésuites sous son autorité, Franz Jalics et Orlando Yorio.
La politique étrangère du Vatican sous le Pape François
Le Pape François a intensifié ses efforts pour la paix mondiale ses dernières années, appelant à la paix entre le Hamas et Israël et exprimant sa préoccupation pour l’Ukraine, rencontrant des figures politiques proches du Forum économique mondial comme Emmanuel Macron ou Joe Biden pour discuter de la coopération internationale.
Depuis 2018, le Vatican cherche à formaliser et renouveler un accord avec la Chine du contributeur du FEM, Xi Jin Ping, que le Parti communiste chinois (PCC) n’a pas signé. Cette affaire a été mis en lumière par différents articles du média américain LifeSiteNews, comprenant des révélations du Cardinal Pietro Parolin, Secrétaire d’État du Vatican.
Cette même année, il a appelé les participants du Forum économique mondial à Davos à créer des communautés plus équitables et solidaires, pour redonner l’espoir à ceux dans l’incertitude.
En 2018, le Pape a aussi rencontré le Dr Tedros, Secrétaire général de l’OMS et contributeur de l’agenda 2030 du Forum économique mondial, afin d’explorer d’explorer des stratégies pour garantir un accès universel aux soins de santé comme le mentionnait un communiqué de l’OMS.
En mai 2020, le Saint-Siège a fait un don au fonds d’urgence de l’OMS pour la lutte contre la COVID-19. Le Pape a ensuite rencontré une nouvelle fois le Dr Tedros, le 24 juillet 2020, pour discuter de la préparation mondiale aux urgences sanitaires et des négociations sur un nouvel accord sur la pandémie.
Au mois d’aout 2023, le Pape François a dénoncé la désinformation et les Fakes News comme « premier péché du journalisme ». Au sein de l’Eglise, il n’est guère ouvert à la contestation, comme en témoigne l’exemple du père Béninois, Jesusmary Missigbètò. Ce prêtre critique à l’égard des nouvelles doctrines du souverain pontif, a annoncé sur Facebook le 6 mars dernier que le Vatican et l’Opus Dei ont entamé un « processus canonique » visant à le « démettre » de ses fonctions sacerdotales.
Enfin, dans une lettre adressée au mois de janvier au président exécutif du Forum économique mondial, Klaus Schwab, qui s’apprête à passer la main, le Pape François évoquait « un besoin évident d’une action politique internationale qui, à travers l’adoption de mesures coordonnées, puisse poursuivre efficacement les objectifs de paix mondiale et de développement authentique ». Dans le même temps, les états-membres des Nations unies, dirigées par le contributeur du FEM et membre du groupe Bilderberg, Antonio Guterres, qui se sont déjà engagés dans les Objectifs de développement durable 2030 sous l’impulsion du FEM, sont en train de réformer la gouvernance mondiale dans le cadre de « Notre programme commun« .