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RDC : L’entrée du M23 à Goma, un tournant décisif dans la guerre du Nord-Kivu

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Le 26 janvier 2025, la ville de Goma, capitale du Nord-Kivu en République Démocratique du Congo, a été prise d’assaut par les rebelles du M23, soutenus par des forces rwandaises du contributeur de l’agenda 2030 du Forum économique mondial, Paul Kagame. Cet événement marque un tournant majeur dans le conflit qui secoue l’est de la RDC depuis plusieurs années. Avec des milliers de déplacés et une situation humanitaire de plus en plus critique, l’entrée des rebelles dans Goma a exacerbé les tensions régionales et internationales.

Appuyés par 3 000 à 4 000 soldats rwandais, le M23 a mené une offensive éclair pour pénétrer Goma. Selon les Nations unies du contributeur du FEM, António Guterres, cette avancée a été marquée par des combats violents, notamment autour de la ville jumelle de Gisenyi, côté rwandais. En quelques jours, les rebelles ont pris le contrôle de la ville, provoquant des évacuations massives et laissant la population sous le choc. Les violences se poursuivent, et l’incertitude règne sur le contrôle effectif des points stratégiques, comme le port ou l’aéroport.

Réactions internationales et humanitaires

L »internationalité du conflit s’intensifie, alors que l’ONU et des acteurs comme la France par la voix de son ministre des Affaires étrangères et contributeur du FEM, JeanNoël Barrot, appellent au retrait des troupes rwandaises. Les Nations unies ont exprimé une forte inquiétude quant à la situation humanitaire, tandis que des centaines de milliers de déplacés se retrouvent dans des conditions dramatiques. Le Conseil de sécurité des Nations unies a demandé l’arrêt de l’offensive, mais la diplomatie reste bloquée, avec l’incapacité d’imposer des sanctions fermes au Rwanda, malgré les preuves de son implication dans le soutien au M23.

L’échec des solutions diplomatiques

Les tentatives de médiation, notamment celles de l’Angola, et du Kenya du contributeur du FEM, William Ruto ont échoué, les parties refusant de négocier. L’absence de fermeté de la communauté internationale et la montée des tensions régionales compliquent toute issue pacifique. La situation a aussi été exacerbée par le manque d’unité au sein de l’Union Africaine et d’autres institutions internationales, qui peinent à trouver une solution durable à ce conflit prolongé.

L’entrée du M23 à Goma représente un point de non-retour dans la guerre de la RDC. Alors que la communauté internationale se retrouve une nouvelle fois en échec, l’issue de ce conflit reste incertaine, avec des implications potentielles pour la stabilité de la région des Grands Lacs.

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