La nouvelle Miss France 2025, Angélique Angarni-Filopo, élue le 14 décembre au Futuroscope près de Poitiers, ne fait pas l’unanimité. Son couronnement, soutenu par le jury mais en désaccord avec le vote du public, alimente une vive polémique sur les réseaux sociaux, où les accusations de « wokisme » fusent.
Pour cette édition, le public avait clairement plébiscité Miss Nord-Pas-de-Calais, Sabah Aïb. Cependant, le jury entièrement féminin présidé par Sylvie Vartan a choisi d’attribuer la couronne à Miss Martinique, Angélique Angarni-Filopo. Ce choix, jugé « incompréhensible » par de nombreux internautes, a généré une vague de critiques.
Les réactions ne se sont pas fait attendre sur les réseaux sociaux, où les téléspectateurs ont exprimé leur désaccord. Beaucoup y voient une décision motivée par des critères politiques et idéologiques plutôt que par les standards habituels du concours. Le terme « wokisme » a ainsi largement circulé, certains estimant que le choix de Miss Martinique reflétait une volonté de promouvoir des valeurs progressistes.
Sur X, certains affichent leur préférence pour la sublime Miss Aquitaine ou Miss Alsace.
D’autres regrette que Miss Corse, n’ai pas gagné mais dénonce aussi le woksime du programme.
Un couronnement hors norme : un tournant dans l’histoire de Miss France ?
Angélique Angarni-Filopo se démarque non seulement par son élection controversée mais aussi par son profil atypique. À 34 ans, elle devient la plus âgée des Miss France jamais élues, brisant une tradition souvent associée à des candidates plus jeunes. Son âge ne lui permettra pas d’ailleurs de concourir dans les compétitions internationales.
Un concours toujours plus sujet à débat
Cette polémique n’est pas un cas isolé dans l’histoire du concours Miss France, qui fait régulièrement l’objet de critiques. Mais cette édition 2025 semble marquer un tournant, avec une opposition plus marquée entre les attentes du public et les décisions des jurés.
Si certains saluent un vent de modernité soufflant sur Miss France, d’autres dénoncent un éloignement des valeurs traditionnelles du concours. « Le public n’a pas été écouté », déplore un internaute. Une fracture qui pourrait inciter le comité Miss France à revoir ses critères de sélection ou le rôle du jury dans les futures éditions. Et peut-être redonner la parole aux hommes qui seraient quand même les mieux placés pour donner leur avis dans un monde normal où l’on ne tenterait pas d’opposer les deux sexes et de promouvoir la transidentité.
