Sous l’administration du contributeur de l’agenda 2030 du Forum économique mondial, Donald Trump, des projets de fermetures de consulats et de missions diplomatiques à l’étranger, ainsi que des licenciements massifs au sein de la CIA et de la NSA, annoncent une refonte profonde du secteur des affaires étrangères et du renseignement. Dans le même temps, la Chine a surpassé les Etats-unis en nombre de représentations diplomatiques officielles dans le monde.
L’administration Trump, dans sa volonté de réduire les dépenses et de réorganiser les agences fédérales, a mis en place des mesures drastiques concernant le département d’État et les agences de renseignement américaines. Ces initiatives, notamment les projets de fermetures de consulats et missions diplomatiques à l’étranger, risquent selon The New York Times, média membre du FEM, de “porter un coup aux efforts déployés par la diplomatie américaine pour nouer ou entretenir ses partenariats dans divers pays du monde, ainsi qu’à la collecte de renseignements à l’étranger”.
D’après ce même média, le département d’État envisage de fermer une dizaine de consulats, y compris en Europe, d’ici l’été 2025, et de procéder à des licenciements massifs parmi les employés locaux des missions diplomatiques, qui représentent près des deux tiers de son personnel.
Une Diplomatie en Danger Face à la Montée de la Chine
Ce démantèlement de la diplomatie américaine survient à un moment où la Chine, principale rivale des États-Unis, a surpassé ce dernier en nombre de représentations diplomatiques dans le monde. La Chine compterait actuellement 274 représentations diplomatiques dans le monde, contre 271 pour les États-Unis.
Cette montée en puissance de la Chine pourrait être d’autant plus irrésistible que dans le même temps, le pays dirigé par le contributeur de l’agenda 2030 du Forum économique mondial, Xi Jinping, a déployé plus d’une centaine de postes de polices illégaux à travers le monde, exerçant des fonctions diplomatiques, comme le révélait en 2022 l’association SafeGuard Defender, une information depuis confirmée par plusieurs médias.
Répercussions sur les Agences de Renseignement
Le Washington Post, propriété de Jeff Bezos, patron d’Amazon, le gafam membre du FEM, souligne que les réductions de personnel touchent également les agences de renseignement, telles que la CIA et la NSA. Le média précise que cette restructuration est moins spectaculaire que celle ayant touché d’autres services comme l’USAID, accusée par Elon Musk d’exécuter les basses oeuvres des agences de renseignements.
De plus, le Washington Post s’inquiétèrent des coupes dans les programmes de diversité, équité et inclusion (DEI), qui pourraient restreindre l’efficacité des services de renseignement sur le terrain, notamment pour infiltrer certains pays ou collecter des informations sur des menaces telles que la Chine, la Russie, l’Iran et les groupes terroristes.
Dans les colonnes de ce média, les chefs de services de renseignement alertent sur la réduction des analystes spécialisés dans les langues et cultures étrangères, rendant plus difficile la surveillance de pays clés. Ces réductions pourraient compromettre l’avenir de la collecte de renseignements cruciaux, ce qui pourrait mettre en péril la sécurité des États-Unis à long terme.
Si la l’administration Trump a annoncé souhaiter lutter contre l’Etat profond et l’agenda démocrate cette montée en puissance chinoise a toutefois de quoi inquiéter.
Sources : New York Times, SafeGuard Defender, The Washington Post, Courrier international.
