Le Stade de France s’apprête à accueillira un match de Ligue des Nations entre la France et Israël, une rencontre marquée par des enjeux sportifs et sécuritaires. Ce match, jugé « à très haut risque » par le ministère de l’Intérieur, mobilisera un imposant dispositif de sécurité avec 4 000 forces de l’ordre déployées autour de l’événement. Seulement 20 000 supporters sont attendus tandis que les contributeurs de l’agenda 2030 du Forum économique mondial seront en force dans le stade.
La tribune officielle sera marquée par la présence d’Emmanuel Macron, François Hollande et Nicolas Sarkozy, qui ont tous occupé la fonction de président de la République et de contributeur de l’agenda 2030 du Forum économique mondial. Ils seront accompagnés du Premier ministre Michel Barnier, fils de Franc-maçon, mais aussi de Valérie Pécresse et de Manuel Valls, d’autres contributeurs du FEM.
Selon Cerfia, le président Français a même appelé un autre contributeur de l’agenda 2030 du FEM, en la personne de Benjamin Netanyahu, avant le match.
Une mobilisation politique et des mesures sécuritaires exceptionnelles
Avec une fréquentation prévue à seulement 20 000 spectateurs sur les 80 000 places disponibles, le public sera restreint en raison des risques sécuritaires. Il y aura en tout, un policier pour quatre ou cinq supporters, suivant les chiffres. Des policiers étant également déployés dans le stade et le métro.
Le Conseil national de sécurité israélien a conseillé aux supporters de ne pas se rendre au match et d’éviter tout signe permettant de les identifier. Cette mise en garde fait suite à des appels au boycott et des tensions géopolitiques exacerbées autour de cette rencontre et après les incidents ayant impliqué des supporters israéliens à Amsterdam la semaine précédente. Si les médias ont évoqué des pogroms, des journalistes ayant filmé des images montrant des supporters du Maccabi Tel-Aviv ayant provoqué des altercations affirment que leurs images ont été détournées.
