Facilement observable si l’on suit la vie de ses stars préférées et de la presse people, le coming-out des enfants des personnalités publiques américaines semble plus élevé que la moyenne, en apparence.
Jennifer Lopez, Megan Fox, Gwen Stefani, Adele, Charlize Theron, Naomi Watts, Annette Bening, Elon Musk, Magic Johnson, Dwyane Wade, Will Smith ou encore Angelina Jolie et Brad Pitt. Voici une liste non exhaustive de célébrités dont les enfants ont fait leur coming-out. De nos jours, la théorie du genre et les transitions de sexe sont bien moins tabous qu’avant, et semblent plus acceptés que lors du siècle précèdent, du moins en Occident.
Des célébrités liées au FEM
Des personnalités comme Angelina Jolie, qui a participé à plusieurs reprises à des événements liés au Forum Économique Mondial, ont publiquement soutenu leurs enfants dans leur exploration de l’identité de genre. Will Smith, dont les enfants ont fait leur coming-out, est aussi affilié au FEM. L’actrice Charlize Theron est aussi une contributrice, tout comme Adele, la chanteuse. Elles sont toutes deux mères de garçons dont l’identité sexuelle n’est pas affirmée. Jennifer Lopez était en couple avec le contributeur FEM, Ben Affleck, au moment où sa fille a réalisé son coming-out, alors que Gwen Stefani qui aurait pu performer au piano-bar de la Promenade de Davos en 2022, avant de se désister pour « raison personnelle », expliquait “qu’elle serait bénie d’avoir l’un de ses fils être gay”.
Le Forum Économique Mondial, qui dans son agenda pour 2030, promeut la diversité sexuelle et soutient publiquement le mouvement LGBT, et notamment auprès de la génération Z, dont 40% s’identifie déjà à ce mouvement, aux États-Unis, selon le Public Religion Research Institute.
Les NBAers impactés
Deux stars de la NBA ont aussi des enfants qui s’engagent pour la cause LGBT et qui se revendiquent comme gays. Tout d’abord, Magic Johnson, ancien meneur des Los Angeles Lakers qui a stoppé sa carrière en 1996, après une première retraite sportive en 1991, a pu s’engager auprès de son fils, qui a fait son coming-out et est devenu une figure LGBT importante. EJ Johnson, le fils de Magic, est transgenre, et fait des apparitions télévisées que la chaine E!, qui appartient à NBCUniversal Media Group, affilié au FEM.
Le fils de l’ancien arrière du Miami Heat Dwyane Wade, a aussi un enfant transgenre, puisque sa fille Zaya a fait son coming-out officiellement en 2020. Elle s’appelait Zion autrefois. Dwyane Wade a déclaré, sur le plateau d’Ellen DeGeneres, qu’il était fier de sa fille et qu’il soutenait le mouvement LGBT. Ellen DeGeneres est une figure LGBT, qui au-delà d’être une présentatrice TV célèbre, est connue pour son “Yep, I’m gay” lancée en 1996, devenue une référence pour les lesbiennes américaines notamment. Dwyane Wade a lancé une plateforme en ligne en soutien des jeunes transgenres le mois dernier, en partenariat avec The Trevor Project, une association de prévention aux suicides, dont l’ancien président, Amit Paley, est un contributeur du FEM.
Le cas Elon Musk
Fondateur de Tesla, Elon Musk a une fille qui semble le renier, à cause du fait qu’elle est transgenre. Elle aurait changé de nom et s’appelait Xavier Alexander. Elle aurait coupé les ponts avec son père qui condamne l’endoctrinement idéologique dont elle aurait été victime par les institutions. À noter qu’Elon Musk, en plus d’être l’une des seules célébrités à avoir eu des problèmes avec son enfant transgenre, critique souvent le FEM sur le réseau social X, dont il est l’actuel propriétaire. Il aurait, selon ses dires, décliné les invitations du forum de Davos.
Un SMpP à Hollywood ?
Les conservateurs américains se montrent véhéments par rapport aux célébrités, aux enfants, transgenre, leur reprochant de promouvoir l’agenda LGBT, tout comme le FEM avec qui certaines de ces stars y sont affiliées. Outre cette possible fidélité à Davos et à son agenda, le SMpP pourrait être la cause de ce phénomène, selon l’influenceur catholique, Claude Chamberlin. Le syndrome de Münchhausen par procuration est un trouble psychiatrique. Il consiste à inventer des maladies chez une autre personne, le plus souvent un enfant à charge, dans le but de déceler une différence qui la fera briller, mais surtout qui lui attirera la compassion. Megan Fox est la source principale de ces accusations, elle dont les 3 enfants sont transgenres. Aux Etats-unis actuellement 40% de la génération Z se sentirait en tout cas concernés par cette question, selon le Public Religion Research Institute.
