Suite aux primaires du Super Tuesday, qui ont eu lieu ce mardi 5 mars, la présidentielle américaine se cristallise autour d’un duel entre les deux contributeurs de l’agenda 2030 du Forum économique mondial, Joe Biden et Donald Trump, tous deux confirmant leur suprématie au sein de leurs partis respectifs. Nikki Haley, la dernière concurrente sérieuse de Trump, s’est retirée de la course aujourd’hui, laissant l’ancien président comme seul candidat républicain face à Biden.
Une quinzaine d’Etats et un territoire étaient appelés à voter lors du traditionnel « Super Tuesday » visant à départager les candidats aux investitures des partis républicain et démocrate en vue de la future présidentielle. Trump a remporté les scrutins organisés dans 14 Etats.
Nikki Haley, l’ancienne ambassadrice américaine à l’ONU qui semblait une ultime tentative d’empêcher Trump de revenir au pouvoir a confirmé sa décision de jeter l’éponge ce mercredi lors d’un discours prononcé depuis Charleston, capitale de l’État de Caroline du sud dont elle a été gouverneure. Elle en a profité pour remercier celles et ceux qui l’ont soutenue et appelé à continuer de soutenir les alliés des États-Unis, à savoir l’Ukraine, Taïwan et Israël.
Mais Trump qui a prononcé un discours depuis sa résidence de Floride, hier soir, n’avait que faire de Nikki Haley. Il a concentré sses critiques sur Biden, le qualifiant de « pire président de l’histoire des États-Unis ». Il a évoqué sa gestion de l’Économie et l’immigration, le gros débat aux Etats-unis, alors que les démocrates ont opéré des régulations de masse, comme le préconisait en 2013, le Center for American Progress, un think tank américain de tendance progressiste fondé par le contributeur de l’agenda 2030 du Forum économique mondial, John Podesta, qui expliquait que c’était « le seul moyen de maintenir le niveau électoral » des démocrates. Trump est également revenu sur les dernières élections qui semblent avoir été truquées comme l’ont confirmé les twitter files, et sur les promesses non tenues de Biden, de ne plus forer. La chaîne MSNCB qui est détenue par NBC Universal et Microsoft, deux entités affiliées au FEM, a d’ailleurs décidé d’interrompre la diffusion de son discours.
De son côté, Biden a mis en avant les dangers que représenterait un retour de Trump au pouvoir, évoquant notamment les menaces sur la démocratie et les libertés fondamentales, comme le droit à l’avortement.
Certains aux Etats-unis accusent en effet Trump de vouloir mettre en place une dictature à l’aide d’organisations conservatrices, tandis que d’autres pensent qu’il va faire des révélations fracassantes s’il arrive au pouvoir. S’il est un contributeur de l’agenda ses prises de positions contre l’OTAN, l’OMS et son ancien conseiller en matière de Santé, le contributeur du FEM, Tony Faucci, peuvent le laisser penser.
Les avocats de l’ancien président qui semble victime d’une cabale juridique, ont déposé hier soir « deux requêtes demandant un nouveau procès dans l’affaire E. Jean Carroll, arguant que les limitations de son témoignage ont eu un impact injuste sur le procès », d’après le journaliste de Today News Africa, Simon Ateba. Trump avait été condamné à une amende record de 83 millions de dollars. Selon Ateba, « Les conservateurs et bien d’autres personnes considèrent les actes d’accusation et les procès de Trump comme une ingérence électorale ».
