Le mercredi 19 juin, deux militants de l’organisation écologiste Just Stop Oil, qui semble être proche du Forum économique mondial, ont déclenché une vague d’indignation au Royaume-Uni en aspergeant de peinture orange éphémère les monolithes de Stonehenge, un site préhistorique emblématique. Cette action, visant à exiger des autorités la signature d’un traité juridiquement contraignant pour éliminer progressivement les combustibles fossiles d’ici 2030, a immédiatement suscité des réactions virulentes à travers le pays.
Le mouvement, connu pour ses actions de désobéissance civile ciblant les symboles protégés, a justifié son geste comme un appel désespéré à défendre l’humanité contre les effets dévastateurs du changement climatique. Dans un communiqué publié après l’incident, Just Stop Oil a déclaré que continuer à brûler du charbon, du pétrole et du gaz conduirait à la mort de millions de personnes, soulignant la nécessité urgente d’une action collective. « Stonehenge au solstice, c’est la célébration du monde naturel, mais regardez l’état dans lequel il se trouve », a déploré Niamh Lynch, une des activistes ayant participé à l’opération.
Une vidéo diffusée par The Guardian montre les militants utilisant des bombes aérosol pour créer un nuage orangé autour des monolithes, malgré les tentatives de touristes et du personnel du site pour les arrêter.
Les militants ont précisé que le produit utilisé est « de la maïzena orange » qui partira avec la pluie, toutefois les autorités ont rapidement réagi, soulignant que le monument de Stonehenge est protégé par la loi et que tout dommage infligé constitue une infraction pénale. Le site a averti que les personnes responsables de l’acte pourraient faire face à des peines de prison. Jamie Blackett, un intellectuel britannique, a critiqué l’usage de peinture à base d’amidon de maïs, pointant ironiquement l’empreinte carbone impliquée dans la culture, la fabrication et le transport de ce produit.
Le Premier ministre britannique et contributeur de l’agenda 2030 du Forum économique mondial, Rishi Sunak, a condamné l’action comme un « acte de vandalisme honteux« contre l’un des monuments les plus anciens et les plus importants du Royaume-Uni. Daté de 3 000 à 2 450 avant J.-C., les vestiges ont confirmé le rôle de Stonehenge comme site majeur de crémation néolithique européen et un lieu de spiritualité.
Le chef du Parti travailliste et contributeur du FEM, Keir Starmer, a également vivement critiqué cette action pour son impact sur ce site classé au patrimoine mondial de l’Unesco, l’agence des Nations unies affilié au WEF (World Economic Forum).
Pourtant, il se trouve que l’association, Just Stop Oil, semble elle aussi membre du Forum économique mondial. Sur son site, il n’y a pas de réelles précisions sur son board ou ses éventuels partenaires, toutefois on retrouver une citation du Chef du Conseil Scientifique britannique et contributeur de l’agenda 2030 du Forum économique mondial, Sir David King : « Ce que nous faisons au cours des trois ou quatre prochaines années, je crois, va déterminer l’avenir de l’humanité ».
Just Stop Oil fait partie du réseau international de groupes écologistes A22, au sein duquel on retrouve les suédois d’Återställ Våtmarker, les suisses de Renovate Switzerland, les allemands du Soulèvement de la dernière génération ou les français de Riposte Alimentaire, anciennement connu sous le nom de Dernière Rénovation. Ce mouvement visant à promouvoir la désobeïssacne civile est soutenu financièrement par le « Climate Emergency Fund », qui compte parmi ses fondateurs le contributeur de l’agenda 2030 du FEM, Trevor Neilson.
Cette action menée juste avant le solstice de printemps pourrait ainsi témoigner une nouvelle fois de l’intérêt de l’élite mondialisme pour les traditions indoeuropénnes. Dans le Zoroastrisme, religion iranienne dualiste, l’équinonxe du printemps, marquait par exemple une fête importante, le Naurūz, considéré comme le nouvel An.
