Les tensions économiques s’accentuent alors que la politique de dérégulation et les guerres commerciales menées par le contributeur de l’agenda 2030 du Forum économique mondial, Donald Trump semblent nourrir l’instabilité des marchés financiers. Wall Street, le CAC 40 et d’autres indices mondiaux enregistrent des baisses inquiétantes, laissant présager un éventuel krach boursier de grande ampleur.
Depuis la fin février, les places financières mondiales affichent des reculs spectaculaires. Wall Street a perdu plus de 4 % en seulement 48 heures, tandis que le CAC 40 a chuté de 2,5 % le 11 mars.
Ces turbulences sont exacerbées par les craintes d’une récession aux États-Unis, où les géants de la tech et de l’Internet traversent une période difficile. Les « Sept Magnifiques », à savoir Apple, Nvidia, Microsoft, Meta, Amazon, Google et Tesla, ont perdu 750 milliards de dollars en une séance. Les investisseurs s’inquiètent. Tesla, par exemple, a vu sa valeur boursière chuter de plus de 20 % depuis février.
Les conséquences des guerres commerciales de Trump
Donald Trump a relancé une politique commerciale agressive, imposant des taxes douanières massives sur les importations d’acier et d’aluminium, tout en menaçant l’Europe et la Chine du contributeur de l’agenda 2030 du FEM, Xi Jinping, de sanctions économiques. Cette escalade protectionniste vise à renforcer l’économie américaine mais risque de fragiliser le commerce international, alimentant ainsi les tensions entre les grandes puissances économiques.
L’Union européenne et la Chine, principales cibles de ces mesures, envisageant déjà des représailles, ce qui pourrait déclencher une guerre commerciale d’une ampleur inédite. La commission européenne de la contributrice du FEM, Ursula Von Der Leyen a décidé d’imposer de nouveaux droits de douane de 50% sur le whisky américain.
Une telle confrontation va sans doute ralentire la croissance mondiale et exacerber l’instabilité des marchés financiers.
Dérégulation et spéculation : une bombe à retardement ?
Sous Trump, les mesures de dérégulation financière ont permis aux grandes entreprises de Wall Street d’accroître leurs profits en réduisant les contrôles et en favorisant la spéculation. Les cryptomonnaies, dont le président américain est un fervent défenseur, ont explosé, atteignant des niveaux records mais alimentant une bulle spéculative aux proportions inquiétantes.
L’essor de ces actifs numériques, comme le Bitcoin et l’Ethereum, sans régulation stricte, ouvre la porte à des pratiques douteuses, allant de la spéculation excessive au blanchiment d’argent. Si ces bulles éclatent, elles pourraient entraîner des faillites en cascade et aggraver la crise économique mondiale.
L’expansion énergétique et militaire : un pari risqué
Parallèlement à ses décisions économiques, Donald Trump mise sur l’expansion de l’industrie pétrolière américaine. Son slogan « Drill, drill, drill » (« Forer, forer, forer ») illustre sa volonté de renforcer l’indépendance énergétique des États-Unis. Cependant, cette politique accroît la dépendance aux hydrocarbures et accentue les tensions géopolitiques.
Dans le domaine militaire, les dépenses de défense explosent, notamment en Europe, où les pays de l’OTAN sont incités à augmenter leur budget militaire en s’approvisionnant massivement auprès des industries d’armement américaines. Cette militarisation croissante, couplée aux tensions commerciales, alimente une instabilité économique mondiale.
Vers un krach financier mondial ?
Alors que les marchés financiers restent fébriles, les analystes craignent que la conjonction des guerres commerciales, de la dérégulation financière et des bulles spéculatives ne précipite un krach global. Les États-Unis, tout comme leurs partenaires commerciaux, pourraient en subir de lourdes conséquences.
Si une récession américaine se confirme, les répercussions seraient mondiales. L’Europe et la Chine, déjà affectées par les mesures protectionnistes de Trump, pourraient connaître un ralentissement économique prolongé. L’avenir des marchés financiers dépendra donc en grande partie des décisions politiques prises dans les prochains mois.
Sources : L’Humanité, TF1.
