Le Professeur Didier Raoult a critiqué sur X, la presse mainstream pour avoir, selon lui, minimisé les effets secondaires des vaccins contre la COVID-19. Il souligne l’importance de X (anciennement connu sous le nom de Twitter) comme moyen de diffuser des informations non filtrées.
Le Professeur Raoult fait référence aux révélations de l’ONG Health Justice Initiative, basée en Afrique du Sud. Après une action en justice, cette ONG a eu accès aux contrats de vaccins anti-COVID-19 signés entre le gouvernement sud-africain et les entreprises pharmaceutiques.
Il met en exergue une section particulière du contrat entre le gouvernement sud-africain et Pfizer. Le chapitre 5.5 précise que « L’Acheteur reconnaît que le Vaccin et les matériaux liés au Vaccin, ainsi que leurs composants et matériaux constitutifs sont en cours de développement rapide en raison des circonstances d’urgence de la pandémie de COVID-19 et continueront à être étudiés après la fourniture du Vaccin ».
Plus important encore, il est stipulé que « L’Acheteur reconnaît que les effets et l’efficacité à long terme du Vaccin ne sont pas actuellement connus et qu’il peut y avoir des effets indésirables du Vaccin qui ne sont pas actuellement connus ».
Une clause indiquait également que « l’acheteur serait responsable de tous les coûts liés à tout rappel ou retrait du marché du produit ».
De plus, le Professeur Raoult rappelle que Jean-François Delfraissy a admis le 24 octobre dernier, lors d’une interview accordée sur le plateau de l’émission Télématin, avoir sous-estimé l’effet du vaccin sur la transmission de la COVID-19. Raoult souligne que « Cette erreur a justifié des mesures autoritaires et liberticides » et regrette que ceux qui avaient exprimé des doutes sur les médias sociaux aient été étiquetés comme anti-vaccins ou théoriciens du complot.
Raoult ajoute également que « Pfizer reconnaît à présent de rares cas de myocardites ». Il mentionne aussi que le vaccin AstraZeneca a été associé à des cas de thromboses chez les femmes, conduisant à son retrait dans plusieurs pays.
Selon le professeur, ces effets secondaires sérieux ont été largement minimisés par la presse dominante. Pour lui, des plateformes comme X offrent une alternative à cette « censure ». Il termine en célébrant la liberté d’expression : « Vive X et à bas la censure! »
Par Grégory Fiori