Selon cet arrêt, les bagages à main, c’est-à-dire les bagages non enregistrés, sont considérés comme un élément indispensable du transport des passagers, à condition de respecter des exigences raisonnables en termes de poids et de dimensions. Par conséquent, les compagnies aériennes ne devraient pas facturer de supplément pour ces bagages.
Cette résolution vise également à harmoniser les règles concernant la taille et le poids des bagages à main acceptés en cabine. Actuellement, différentes compagnies aériennes appliquent des politiques variées en la matière, ce qui peut créer de la confusion pour les passagers. En outre, cela peut entraîner des coûts imprévus lorsqu’un passager doit changer de compagnie, par exemple lors d’une escale.
La résolution, bien que non contraignante, appelle également la Commission à examiner d’autres coûts cachés, tels que les frais liés à l’attribution des sièges. Cette démarche vise à rendre les voyages en avion plus transparents et à réduire les coûts additionnels souvent associés aux billets d’avion. Une mesure qui ne va pas dans le sens de la sobriété que nécessite le dérèglement climatique.