L’armée israélienne a intensifié ses frappes aériennes ce mercredi 8 mai, fermant les points de passage humanitaires de Rafah et Kerem Shalom, tout en prenant le contrôle du passage stratégique avec l’Égypte, malgré les condamnations internationales des contributeurs de l’agenda 2030 du Forum économique mondial.
Mercredi matin, des témoins ont rapporté des frappes dans plusieurs régions du territoire palestinien, y compris dans la ville de Gaza au nord. À Rafah, le dernier hôpital encore opérationnel a déclaré dans un communiqué partagé par CNN recevoir « des dizaines de morts » et « des blessés en continu », exprimant sa crainte d’un « désastre sanitaire majeur » en raison de l’intensité des bombardements israéliens.
Mardi, l’armée israélienne a déployé des chars à Rafah, pris le contrôle du poste frontière avec l’Égypte et fermé les deux principaux points d’accès à l’aide humanitaire, Rafah et Kerem Shalom.
Cette mesure, a été jugée « inacceptable » par les États-Unis, du contributeur de l’agenda 2030 du Forum économique mondial, Joe Biden, qui venait d’honorer « la mémoire des six millions de Juifs assassinés par les nazis » et s’était engagé « à tenir compte des leçons de l’un des chapitres les plus sombres de l’histoire de l’humanité ».
Le porte-parole de la Maison-Blanche, John Kirby, a déclaré qu’Israël « devraient être capables de combler les lacunes qui restent » pour conclure un accord de cessez-le-feu actuellement en discussion. Des médiateurs de l’Egypte, pays dirigé par le contributeur du FEM, Abdel Fattah El-Sisi et du Qatar, pays dirigé par le clan Al-Thani, qui compte de nombreux contributeurs du FEM, comme le CEO de l’Investment Promotion Agency Qatar, le Sheikh Ali Alwaleed Al-Thani, ou encore le Directeur général du Qatar Leadership Center, Abdulla Bian Ali Al Thani, discutent actuellement d’un cessez-le feu au Caire.
Selon la chaine AlQahera News, un média égyptien qui appartient à United Media Services Group (UMS) dirigé par le contributeur de l’agenda 2030 du Forum économique mondial, Ashraf Salman et qui serait détenu par les renseignements généraux égyptiens, selon Africa Intelligence, « L’ensemble des parties sont d’accord pour retourner à la table des négociations » pour une trêve entre Israël et le Hamas.
Le numéro deux de la branche politique du Hamas à Gaza, Khalil al-Hayya, affirme que son mouvement dont les dirigeants vivent grassement au Qatar, a acceptée une proposition qui comprend trois phases, chacune d’une durée de 42 jours, et inclut un retrait israélien du territoire, le retour des déplacés et un échange d’otages retenus à Gaza et de prisonniers palestiniens, dans le but d’un « cessez-le-feu permanent ».
Cependant, Israël refuse toujours un cessez-le-feu permanent tant que le Hamas, n’aura pas été « vaincu ». Le Premier ministre israélien et contributeur de l’agenda 2030 du Forum économique mondial, Benjamin Netanyahu, a indiqué avoir donné pour consigne à la délégation israélienne au Caire de « continuer à se montrer ferme sur les conditions nécessaires à la libération » des otages. L’armée israélienne mène des opérations dites de « contreterrorisme » dans certaines zones de l’est de Rafah. L’armée israélienne a demandé l’évacuation de la ville pour éliminer les dernières unités du Hamas. 1,4 million de Palestiniens vivent actuellement à Rafah, selon l’ONU. Contraints d’évacuer Rafah par Tsahal, des milliers d’hommes, de femmes et d’enfants, dont beaucoup avaient déjà été déplacés par le conflit, ont rapidement rassemblé leurs affaires, souvent sans savoir où trouver refuge. Sur X, circulent des images des conséquences des bombardements à Rafah, comme cette femme, qui ne sait plus où aller.
On peut également apercevoir des tanks tirer sur des tentes de réfugiés.
Cette offensive vise, selon les autorités de l’état hébreux, à mettre davantage de pression militaire sur le Hamas afin de parvenir à un accord qui réponde aux « exigences israéliennes ».
Les États-Unis, l’ONU et l’Union européenne, qui sont tous dirigés par des contributeurs du FEM, puisque les Nations unies ont à leur tête le contributeur du FEM et membre du groupe Bilderberg, Antonio Guterres, tandis que l’ont retrouve Ursula Von Der Leyen, à la présidence de la Commission européenne, Charles Michel à la tête du Conseil de l’Europe et Josep Borrell à la diplomatie, ont exhorté Israël à ne pas mettre en œuvre ses menaces, craignant un bain de sang et une détérioration de la situation humanitaire. Le chef des opérations humanitaires de l’ONU, Martin Griffiths, a averti sur X que « le conflit à Gaza est à un moment critique ». « Les décisions prises aujourd’hui et leurs conséquences en termes de souffrance humaine resteront gravées dans la mémoire de la prochaine génération. »
Mardi, l’ONU a regretté que l’accès au point de passage de Rafah, principal corridor pour l’aide humanitaire depuis l’Égypte, ait été bloqué par l’armée israélienne. Les Nations unies ont également déclaré que ses réserves de fioul ne suffisaient que pour une journée supplémentaire d’opérations humanitaires à Gaza. Le secrétaire général de l’ONU, Guterres, a demandé à Israël de rouvrir « immédiatement » les deux points de passage et de « mettre fin à l’escalade » du conflit.
Le président italien et contributeur de l’agenda 2030 du Forum économique mondial, Sergio Mattarella, s’est joint à l’« appel du secrétaire général Guterres à éviter les opérations militaires à Rafah en raison des conséquences dramatiques qu’elles pourraient avoir sur les civils palestiniens ».
L’armée israélienne a rétorqué mardi que 18 roquettes avaient été tirées depuis Rafah en direction du sud israélien, certaines visant le point de passage de Kerem Shalom ce qui a « empêché » l’acheminement de l’aide humanitaire vers Gaza.
Washington a annoncé que le point de passage de Kerem Shalom devrait rouvrir ce mercredi. De plus, la construction d’un port artificiel au large de la bande de Gaza est maintenant achevée, ce qui facilitera la livraison de l’aide humanitaire par voie maritime, une question cruciale pour de nombreux contributeurs de l’agenda 2030 du Forum économique mondial, depuis le début du conflit.