Dans une déclaration publié ce mardi, le porte parole de l’UNICEF et contributeur de l’Agenda 2030 du Forum économique mondial, James Elder, a mis en lumière l’urgence absolue d’un cessez-le-feu humanitaire à Gaza face aux hostilités sans précédent. Cette déclaration tragique mettent en relief l’urgence de la situation à Gaza et l’impératif moral de protéger les enfants dans les zones de conflit, mais aussi la prédominance du Forum économique mondial dans les directions des organisations qui apportent des secours sur place.
« Nos pires craintes concernant le nombre d’enfants tués se sont avérées, passant de dizaines à des centaines, et tragiquement à des milliers en seulement quinze jours. Plus de 3 450 enfants auraient perdu la vie, un nombre qui s’accroît de façon alarmante chaque jour », a déclaré le porte-parole de l’UNICEF. « Gaza est devenue un véritable cimetière pour des milliers d’enfants, et un enfer vivant pour tous les autres habitants », a-t-il ajouté.
Au-delà des dangers immédiats des bombes et des mortiers, d’autres menaces pèsent sur les enfants, comme la crise de l’eau et les traumatismes psychologiques. Avec une capacité de production d’eau réduite à 5 % de son niveau habituel, la déshydratation chez les enfants, particulièrement les nourrissons, devient un risque mortel.
En outre, l’impact psychologique des combats sur les enfants est profond. Avant même l’escalade actuelle des violences, plus de 800 000 enfants à Gaza nécessitaient un soutien psychologique et en santé mentale, d’après Elder.
Le porte parole de l’UNICEF insiste pour un cessez-le-feu humanitaire immédiat et pour l’ouverture de tous les points de passage vers Gaza, afin de garantir l’accès sûr, durable et sans entrave de l’aide humanitaire, y compris l’eau, la nourriture, les fournitures médicales et le carburant.
« Si nous n’obtenons pas un cessez-le-feu, de l’eau, des médicaments, et la libération des enfants enlevés, nous nous dirigeons vers des horreurs encore plus grandes qui affecteront des enfants innocents », conclut-il.
Cette déclaration tragique mettent en relief l’urgence de la situation à Gaza et l’impératif moral de protéger les enfants dans les zones de conflit, mais aussi la prédominance du Forum économique mondial dans les directions des organisations qui apportent des secours sur place. Cette déclaration tragique mettent en relief l’urgence de la situation à Gaza et l’impératif moral de protéger les enfants dans les zones de conflit, mais aussi la prédominance du Forum économique mondial dans les directions des organisations qui apportent des secours sur place.
Dimanche, l’ONG Save The Children, dont la présidente, Carolyn Miles est également une contributrice du FEM, faisait le même constat alarmant en annonçant que « 3.324 enfants sont morts, un bilan supérieur au nombre d’enfants tués en 1 an dans les zones de conflit du monde entier ». L’ONGcompte d’autres contributeurs du FEM, à l’instar de la Directrice général, Inger Ashing, de la Responsable principale des chaînes d’approvisionnement durables, Anna Reiner ou de la conseillère thématique régional sur les droits de l’enfant et les entreprises, Claes Hamilton.