Sur X, Patrick Guerin, président d’OpenHealth, une entreprise qui collecte des données de Santé et les met à disposition des autorités de santé, des industriels, des chercheurs et du grand public affirme que « Dès la publication de l’étude toxicologique de Li et al, le 18 août 1921, il était établi que les cellules cardiaques contiennent le mRNA codant pour la protéine Spike vaccinale ». Les chercheurs de cette étude ont conclu qu' »une injection intraveineuse accidentelle de vaccins à ARNm contre la COVID-19 peut induire une myopéricardite ».
Dans cette étude menée notamment la scientifique Can Li, du Laboratoire d’État des maladies infectieuses émergentes d’Hong Kong qui comparait « les manifestations cliniques, les changements histopathologiques, l’expression de l’ARNm tissulaire et les taux sériques de cytokine/chimiokine et de troponine chez des souris à différents moments après une injection de vaccin par voie intraveineuse (IV) ou intramusculaire (IM) avec un contrôle salin normal (NS) », les chercheurs affirmaient que » Les copies du gène Spike-RBD de l’ARNm COVID-19 dans les tissus cardiaques étaient significativement plus élevées dans le groupe IV que dans le groupe IM à 1 dpi « . Les scientifiques concluaient que « Cette étude a fourni des preuves in vivo selon lesquelles une injection intraveineuse accidentelle de vaccins à ARNm contre la COVID-19 peut induire une myopéricardite ».
« Les Nano Particules Lipidiques (LNP) ne restent PAS au site d’injection – sinon comment et pourquoi retrouve-t-on le mRNA codant pour le fragment RBD de la protéine SPIKE vaccinale dans les cellules cardiaques ? » questionne Patrick Guerin sur X. « Si les LNPs circulent du muscle deltoïde, où elles étaient été censées rester, au cœur par voie sanguine et/ou lymphatique, d’autres organes peuvent être empoisonnés », ajoute-t-il.
Selon lui, « les LNPs ne restent pas au site d’injection, à fortiori quand l’injection touche une veinule ou une artériole (rappelons que la consigne d’aspiration avant injection a été supprimée) ». « Les cellules de nombreux organes sont transfectées. Elles vont exprimer la protéine SPIKE vaccinale et déclencher une réaction immunitaire contre des cellules du self. »
Il précise que « Cet empoisonnement fût, et est, observé sur de très nombreux organes », tout en soulignant que « Pfizer a mené des études de biodistribution in vivo de vaccins à ARNm lipidiques-nanoparticules (LNP) marqués au [3H] injectés par voie IM chez le rat [34]. Il y avait une certaine accumulation de la formulation dans le cœur à 2 dpi, bien que bien inférieure aux concentrations dans le foie ou la rate ». « Cette diffusion générale était connue des autorités de santé depuis JANVIER 2021. »