Parallèlement, le Sénat français s’apprête à débattre d’une proposition de loi visant à limiter l’emploi de l’écriture inclusive. Ce projet, lancé par des membres de droite mais critiqué par la gauche, propose d’interdire l’utilisation de l’écriture inclusive dans les textes juridiques, contrats et autres documents officiels, affirmant que cette forme d’écriture porte atteinte à la compréhension et à la clarté du français.
Les partisans de l’écriture inclusive la défendent comme un moyen d’intégrer plus d’équité entre les genres dans la langue. Cependant, Macron insiste sur la nécessité de préserver la grammaire et la syntaxe traditionnelles du français, en se méfiant des modes et influences éphémères. Le président a encouragé l’adoption de nouveaux termes provenant d’autres cultures, mais en maintenant les bases fondamentales de la langue.
Ces récentes déclarations et les débats législatifs reflètent la tension croissante en France autour de l’écriture inclusive et du maintien de la pureté de la langue française.